VIDEO LESBIENNE AMATEUR

La vidéo lesbienne amateur, adorée ou détestée

L’amour entre femmes à toujours tenu une place importante dans les films pornographiques, mais plus encore après la libéralisation du genre, au milieu des années soixante-dix. Les réalisateurs incluent alors de manière quasi systématique, une scène lesbienne dans les films qu’ils tournent, convaincus que de très nombreux hommes fantasment sur ce type de relations. Cet élément du « cahier des charges » d’un film X digne de ce nom va demeurer inscrit en première page jusqu’au début des années 90, lorsque le gonzo commence à se répandre et que les professionnels du X s’aperçoivent que la fameuse « scène lesbienne » n’est pas toujours bien perçue par les spectateurs. Un constat qui ne va pas empêcher l’apparition de la vidéo lesbienne amateur, à peu près à la même époque.

Faire de la vidéo lesbienne amateur une spécialité

C’est même cette vision mitigée des rapports lesbiens qui va inciter les producteurs à lancer sur le marché des séries exclusivement consacrées aux relations sexuelles entre femmes, répondant ainsi à une demande masculine certes forte, mais loin d’être absolue. Les amoureux du tribadisme vont ainsi obtenir satisfaction, mais pas forcément les férus de réalisme qui devront attendre le développement d’une vidéo amateur lesbienne peu encline à émerger. Quelques séries spécialisées vont bien voir le jour, mais uniquement en France et de manière plutôt confidentielle. En effet, les réalisateurs de X amateur vont rapidement apercevoir le fossé infranchissable qui sépare le fantasme pornographique de la réalité…

La vidéo lesbienne amateur, rare et confidentielle

Car dans le domaine de l’amateur, dénicher de véritables lesbiennes va s’avérer très compliqué, voire quasi impossible. Un problème qui ne se pose évidemment pas dans le X professionnel, les actrices étant bien mieux rémunérées pour des prestations qui constituent un travail à plein temps. Les amateurs quant à eux, vont donc devoir composer avec les quelques amatrices bisexuelles qu’ils vont parfois avoir la chance de faire tourner, filmant au compte-gouttes les précieuses scènes lesbiennes. Certains néanmoins, à l’instar de Pascal Galbrun, fondateur de la société Iris Casting Production, vont pallier le problème en scénarisant leurs scènes, justifiant ainsi la présence de scènes lesbiennes qu’il leur faudra cependant rémunérer au même tarif que pour une scène hétéro.

Une situation toujours d’actualité, qui fait de la vidéo lesbienne amateur un genre plutôt marginal.

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